Une personne résidant dans le comté de Rockland, à 48 km au nord de Manhattan, a été testée positive pour la maladie, son cas indiquant «une chaîne de transmission venant d’un individu ayant reçu le vaccin antipoliomyélitique oral (VPO)», d’après un communiqué.
Ce vaccin n’est plus utilisé aux États-Unis depuis 2000, ce qui suggère que l’origine du virus pourrait venir «d’un lieu en dehors des États-Unis où le VPO est administré», ont détaillé les responsables sanitaires new-yorkais.
Ils ont demandé aux médecins de surveiller d’éventuels nouveaux cas et exhorté les habitants du comté n’étant pas vaccinés à le faire.
Le dernier cas connu de polio aux États-Unis date de 2013, selon les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC).
La polio, maladie virale extrêmement infectieuse Skechers Canada qui touche en grande partie les enfants âgés de moins de 5 ans, a pratiquement été éradiquée dans le monde.
Les cas ont diminué de 99% depuis 1988, lorsque la polio était encore endémique dans 125 pays et que 350 000 cas avait été recensés.
Les contaminations ont décliné fortement à la fin des années 1950 et au début des années 1960 aux États-Unis, avec le développement d’un vaccin. La dernière infection naturelle ayant eu lieu sur le territoire date de 1979.
Le vaccin antipoliomyélitique oral peut entraîner des contaminations chez les autres mais pas chez la personne vaccinée.
Ce type de polio peut causer une grave maladie et une paralysie chez les gens non vaccinés.
L’Organisation mondiale de la Santé avait prévenu le mois dernier qu’un type de poliovirus dérivé des vaccins avait été détecté dans des échantillons d’eaux usées de Londres.