Camper dévoile des chaussures à talons unisexes juste parfaites pour toiser les mascus fragiles

Bien que la tendance des chaussures à talons soit désormais bien amorcée chez ces messieurs, il faut encore de l’audace pour oser battre le pavé perché sur plusieurs centimètres lorsqu’on est un homme. La faute sans doute à des stéréotypes de genre profondément ancrés, qui se déconstruisent lentement. C’est bien pour cela que lorsqu’une marque décide de prendre le contrepied de ces images préconçues, pour contribuer à bousculer les codes, cela mérite d’être souligné.

 

 

Les sandales à talons Kobarah de Camper : le profil type d’une it-shoe en devenir

Alors qu’elle s’impose pas à pas sur le devant de la scène mode, la griffe espagnole Camper, pionnière en matière d’innovation et de créativité, vient peut-être de sortir la prochaine it-shoe.  D’un modèle culte, la sandale à talon Kobarah, en a déjà toutes les caractéristiques.

Une silhouette des plus originales et avant-gardistes inspirée d’un serpent qui viendrait s’enrouler autour du pied.

Des coloris pops et funs, allant du blanc vernis, au orange en passant par un vert kermit résolument tendance.

Une fabrication éco-responsable et circulaire, avec une semelle extérieure composée à 30% de canne à sucre biosourcée. Destinée à être portée toute une vie, la chaussure pourra par la suite être démontée, recyclée et transformée en un nouveau produit. Le processus de conception en lui-même se veut particulièrement intéressant et intelligent, puisque la sandale est fabriquée à partir d’un seul moule. De quoi limiter la production de déchets et la consommation d’énergie.

Enfin, ces talons uniques en leur genre se démarquent surtout parce qu’ils se déclinent en un large éventail de pointures, ce qui en fait des souliers unisexes pouvant être portés par tous.

Un modèle qui participe donc à abolir de nombreuses frontières, le tout avec style et un tarif plutôt raisonnable, puisqu’il faut s’acquitter de la somme de 125 €, pour s’offrir ces petites merveilles qui mériteraient leur place aussi bien dans notre dressing que dans un musée d’art contemporain.

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