La seconde main est tendance. Écolo et accessible, elle répond parfaitement aux aspirations actuelles des consommateurs. Si jusqu’à présent, elle ne concernait que les vêtements, chaussures et accessoires, Etam la fait évoluer et y intègre désormais les soutiens-gorge.
En mars 2021, l’enseigne de lingerie innove en lançant l’opération « Petit Geste Joli Soutien ». 519 bornes de collecte sont déployées dans les magasins de la marque, afin que les clientes y déposent les soutiens-gorge qu’elles n’utilisent plus. L’initiative durable et solidaire est inscrite dans son programme WeCare. En échange, ces clientes reçoivent une remise de dix pour cent valable sur leur prochain achat chez Etam. Les soutiens-gorge en bon état sont ensuite lavés et triés avant d’être redistribués à des associations qui accompagnent les femmes en situation de précarité.
Aujourd’hui, Etam passe à une nouvelle étape de son engagement et propose une nouvelle forme de revalorisation de tous les soutiens-gorge récoltés : la seconde main.
« Difficilement recyclables en raison des accessoires qui le composent et qui assurent maintien et confort, les soutiens-gorge sont les grands oubliés de la revalorisation dans l’industrie du textile (…) Cette année, Etam souhaite poursuivre ses efforts en proposant une nouvelle forme de revalorisation de tous les soutiens-gorge récoltés : la seconde main (…) Au même titre qu’un t-shirt ou une paire de chaussures, la première marque de lingerie en France est convaincue que brassières et corbeilles ont aussi le droit à une deuxième vie », explique l’enseigne dans un communiqué.
Le premier corner seconde main d’Etam
Après avoir été triés et lavés, les soutiens-gorge sélectionnés sont mis en vente dans le tout premier corner dédié, inauguré le 3 juin dernier, au premier étage du magasin Etam de Lyon-République. Dans cet espace inédit, tous les éléments de décor sont en carton recyclé. Les cintres, en bois pressé, font partie du programme de Recherche & Développement et sont actuellement testés en phase pilote. Les soutiens-gorge sélectionnés seront vendus à dix euros et l’intégralité des bénéfices sera reversé à des associations accompagnant les femmes en situation de précarité.